The Notwist revient en 2008 avec " The Devil, You + Me ". Après " Neon Golden ", il y a de cela 6 ans, c'est avec fébrilité que nous disposons ce nouveau-venu dans le lecteur.
Comment donner suite à " Neon Golden " ; si ce n'est, en se prenant les pieds dans le tapis ?
Cette nouvelle production est léchée, mitonnée aux petits oignons. Le romantisme ténébreux trouve ses aises encore une fois, dans chacune des compositions, aussi minimalistes puissent-elles être.
" The Devil, You + Me " vous déshabille, et vous insuffle nombre de sensations et sentiments.
L'explosion de joie si typique des retrouvailles, les frissons voguant à leur gré sur votre peau, les papillons frémissant quelque part en votre for intérieur.
Qui sont les coupables de ce bouleversement intérieur ?
Les délicates " Gloomy Planet ", " The Devil, You + Me ".
Belles comme un premier amour.
Egalement la triste et saisissante " Hands On Us ", qui a tout pour faire fondre en larme un David Lynch en goguette.
Les plus pop et rythmées " Alphabet", et " Boneless ".
Aussi bouleversantes que la vue des côtes bretonnes frappées par la pluie.
La turbulente " Good Lies ", la tortueuse " Where In The World ", l'impulsive " Gravity ", la rêveuse " Sleep", l'inquiétante " On Planet Off ", n'ont rien à envier à leurs soeurs.
Et dans cette fratrie, il y a la petite dernière, fragile et sensible.
Celle qui fera chavirer plus d'un coeur, la dénommée " Gone Gone Gone ", qui ne dépareillerait pas dans une soirée, accompagnée de ses grandes cousines américaines, enfantées par le passionant Mark Linkous (Sparklehorse).
Simplement époustouflant.
" ich bin ein münchner "
Comment donner suite à " Neon Golden " ; si ce n'est, en se prenant les pieds dans le tapis ?
Cette nouvelle production est léchée, mitonnée aux petits oignons. Le romantisme ténébreux trouve ses aises encore une fois, dans chacune des compositions, aussi minimalistes puissent-elles être.
" The Devil, You + Me " vous déshabille, et vous insuffle nombre de sensations et sentiments.
L'explosion de joie si typique des retrouvailles, les frissons voguant à leur gré sur votre peau, les papillons frémissant quelque part en votre for intérieur.
Qui sont les coupables de ce bouleversement intérieur ?
Les délicates " Gloomy Planet ", " The Devil, You + Me ".
Belles comme un premier amour.
Egalement la triste et saisissante " Hands On Us ", qui a tout pour faire fondre en larme un David Lynch en goguette.
Les plus pop et rythmées " Alphabet", et " Boneless ".
Aussi bouleversantes que la vue des côtes bretonnes frappées par la pluie.
La turbulente " Good Lies ", la tortueuse " Where In The World ", l'impulsive " Gravity ", la rêveuse " Sleep", l'inquiétante " On Planet Off ", n'ont rien à envier à leurs soeurs.
Et dans cette fratrie, il y a la petite dernière, fragile et sensible.
Celle qui fera chavirer plus d'un coeur, la dénommée " Gone Gone Gone ", qui ne dépareillerait pas dans une soirée, accompagnée de ses grandes cousines américaines, enfantées par le passionant Mark Linkous (Sparklehorse).
Simplement époustouflant.
" ich bin ein münchner "
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