Carte postale.



    

 
            Salut, je vous écris de mon blog où tout se passe bien. Cet ilot a désormais trouvé son rythme de croisière. Et le nombre de visites monte en flèche. Si les statistiques disent vrai, je suis impressionné. Je m’y sens moins seul. Évidemment, en regardant autour de moi, je sens bien que quelque chose se trame. Et je me dis même, que, si mes écrits – en liberté conditionnelle – vous intéressent, ce qui se passe dans mes cahiers – en absolue liberté – pourra probablement, un jour, franchir le cap de la publication. C’est un peu fou, mais depuis une poignée de semaines, je sens que quelque chose se passe. Mon imaginaire est comme plongé dans une transition exubérante. J’ignore d’où ça vient. J’ignore où ça va. Et cette dose d’inconnu me plaît. Car, voyez-vous, rien n’est écrit d’avance. Le visage de la prochaine chronique reste une énigme. La belle énigme. Portez-vous bien.
  
B.
         

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